Chercheur : Aphraelle,
Poste : Déesse omnisciente |
Cette étude pourrait également s'appeler au royaume des québécois (surtout les célibataires), une jeune française est-elle reine ? Cette question mérite bien sont point d'interrogation. En effet, jusqu'à maintenant, aucune étude scientifique ne parle de cet animal proche de l'Homo sapiens français. Aussi, je me propose dans ce rapport de faire un compte-rendu aussi détaillé que possible sur cette espèce et plus particulièrement de sa population mâle. Nous ferons allusion parfois a la gente féminine de cette espèce afin de mieux comprendre le comportement sociologique et physiologique des sujets étudies. Nous allons commencer par des généralités, puis nous irons au plus précis.
Au premier abord, l'Homo sapiens québécois est très chaleureux et ne s'embête pas des convenances. En effet le vouvoiement est envoyé cul par dessus tète rejoindre ses ancêtres et la haute bourgeoisie, en laissant place au tutoiement. Il est nécessaire de noter que ce trait de caractère est valable aussi pour la population féminine. Par conséquent, J'en conclue que cette qualité (rare mais ô combien sympathique) est une caractéristique propre à ce peuple. Je pense (mais il faudrait faire valider cette hypothèse par une analyse biologique plus poussée) que cela doit provenir d'une mutation génétique de l'ADN qui est définitive et irréparable. Cela a dû se produire lorsque l'Homo sapiens anglais soudain pris d'une frénésie de conquête balaya l'Homo sapiens français guerrier hors du territoire du Québec d'un bon coup de pied dans le derrière.
NB : Il semble que l'isolement et que la résistance à l'occupant soit responsable de cette mutation chez l'Homo sapiens français. Peut-être serait-il intéressant de tester les effets de cette combinaison sur un animal tel que l'Homo sapiens américain.
Ce phénomène une fois identifie, nous a permis de mieux comprendre la psychologie générale de ce peuple et par conséquent de sa population mâle. Cette trouvaille confirme en partie l'hypothèse selon laquelle un étranger qui arrive au Québec trouve forcement chaussure à son pied (chose sur laquelle je suis particulièrement sceptique).
Du point de vue physique, là nous arrivons à une sorte de nœud ou de croisée des chemins. Le premier lieu où l'étude a été faite est l'université Laval de Ste Foy. Pour reprendre une expression connue mais adaptée à notre sujet, " Où sont les hommes avec leurs biceps et leurs plaques de chocolat ". Le beau mâle québécois est un genre très rare, ou comme une Mort Subite (pour ceux qui ne le savent pas il s'agit d'une bière), il faut l'acheter dans un magasin spécialisé. Cette hypothèse s'est renforcée les 3 premiers jours , puis a été complètement démontée lorsque le lieu d'étude s'est déplacé au niveau du vieux Québec. Là le miracle se produisit. Les beaux mâles pullulaient, un peu comme la mauvaise herbe dans un jardin, sauf que la jardinière ne met pas d'herbicide mais elle les cultive avec amour.
Précision : En s'approchant d'un des sujets, (qui n'était pas scotché par une représentante de la population femelle) quel ne fut pas ma surprise de constater qu'il ne faisait pas parti de l'espèce québécoise, mais de celle hispanique (un peu plus corsé et ayant un comportement complètement diffèrent du québécois). Grosse déception car un temps précieux (quelques secondes) ont été gaspillés sur un mauvais sujet. Par conséquent, il a fallut décider afin d'éliminer ce genre d'erreur de manipulation, (pour également éliminer l'erreur aléatoire et pour suivre la norme strasbourgeoise XX), de se cantonner à l'université avec quelques extra sur d'autres villes. La condition étant la certitude de la bonne espèce du sujet (pour cela, ce n'est pas très compliqué, le test est simple, il suffit de le faire parler).
Apres cette présentation généraliste mais au combien simpliste, je décidai en accord avec moi-même d'examiner de plus près l'un de ces sujets.
NB : Pour le moment nous n'avons pas encore pu en attraper un, mais je ne désespère pas.