Etude BioStatistiques...

...des Caractéristiques MorphoAnatomiques Comparées des Blattes du Campus Universitaire de Jussieu

Ces charmantes bestioles... sont extrèmement nombreuses aux alentours de Jussieu. Comment se sont-elles adaptées pour survivre dans cet environnement hostile? La densité de population est maximale aux alentours du Restaurant Universitaire. Grace à une source d'alimentation importante, ils se reproduisent au rythme de 5 générations par jour. Leur espérance de vie est de plus de 6 ans. En outre, grace à la forte radioactivité du lieu, il leur pousse de nombreuses pattes supplémetaires, ce qui leur permet d'echapper aux rares prédateurs du coin. La longueur des antennes des cafards de cette région est directement proportionel au nombre moyen de pâtes mangées par étudiant le jour de leur naissance.

Aux alentours des salles de cours, ils changent de couleurs pour devenir vert-violet. En revanche, la couleur de leurs yeux devient fonction de leur taux d'amiante corporel. Ce qui permet d'avoir un indicateur de pollution extrèmement fiable: fuyez les salles ou vous voyez des cafards aux yeux rouges ou oranges. Face à l'important polymorphisme de leur génome à 5n chromosomes, les chercheurs ont du définir un certain nombre de caractéristiques pour comparer entre eux les différents phénotypes rencontrés. On caractérise par exemple leur constante d'Amphioxus comme Nb de Patte*Nb de Cerveaux/ Nb d'ailes. Celle-ci est une fonction de Gauss-Pellhe de la Radioactivité ambiante.

Influence de l'Amiante

Fonction de Gauss-Pellhe de la Constante d'Amphioxus

Leur intelligence est très variable est semble être fonction de l'intelligence du prof qui fait le cours le plus chiant au moment de leur naissance. Mais on n'a pas encore établi l'équation, qui semble fort complexe. Néamoins, les données expérimentales ont étées publiées afin d'exciter la sagacité des scientifiques du dimanche et financer la suite des recherches en autorisant le tournage d'un film à Holiwood. Bientôt donc sur vos écrans: Caputz, vie et mort d'une blatte en France

Une étude sur les abdomens, mené par les Professeurs Drew Madère et Mohammed Tcha (surnommé Tcha-Mo) a donné de surprenants résultats. Une fonction mystique, qu'ils ont découverte, semble lier leur taille à la note moyenne des élèves de la section! Cette étude a utilisé les archives de la fac depuis 1512 et un super ordinateur Cray-TPDM afin d'obtenir la formule, qui est bien entendue top-secrète. Ils ont également développé la Constante de Miaouu (Nb d'antennes*Nb Patte) et étudié ses propriétés. Ils ont ainsi découvert qu'elle était inversement proportionnelle au nombre de poignées de tableaux en êtat de marche au moment de leur naissance! Sauf dans les salles sans poignées ou elle devient fonction de l'énergie dépensé par le prof pour soulever le tableau. Quant aux salles sans tableau, les cafards semblent les éviter comme la peste. Ce qui les a poussés à proposer de supprimer les tableaux de toute la Fac. Cette solution audacieuse n'a malheureusement pas été mise en pratique par la Fac car on craignait une grève des nettoyeurs de tableaux (qui eu effectivemnt lieu).

Fonction de Drew Madère et Mohammed Tcha

La Constante de Miaouu

Après cet echec, on s'est tourné vers la lutte biologique pour éradiquer ces ravageurs. Le premier essai a été Millsonia anomala, un ver de terre tropical carnivore. Celui-ci à proliféré rapidement, mais il préférait manger les doigts de profs et les copies d'examens. On a donc stoppé cette expérience aprés qu'une coalition prof/élèves ait saccagé la tour centrale pour se venger. Asellus aquaticus n'a pas survécu au choc de la découverte de graffitis et Myrmeolettix maculatus a attaqué la salle de TP de Bio pendant la séance de dissection du criquet. Le premier succès apparu avec Heterocampa guttivita, une chenille parasite qui fit baisser de 82.56% les populations de cafards. Malheureusement, l'apparition de cafards mutants à 7,5 pattes fit regrimper extrémement vite la population à 97.2% de son niveau initial. L'essai suivant utilisa Lacerta vivipara qui proliféra extrèmement vite en mangeant 500 cafards par individu et par jour. La prolifération fut telle que ces lézards furent retrouvés un peu partout, y compris dans les réserves de BET d'ou emergèrent un ou deux Godzillas. Afin de stopper cette catastrophe, on introduisit des belettes Mustela nivalis qui malheureusement préférerent manger les souris des ordinateurs de Jussieu, paralysant la gestion du CROUS pendant 2 semaines (ou on nota une forte diminution du nombre de mutants en liberté dans Jussieu). Bref, aujourd'hui, on se retrouve avec trois ravageurs qui perturbent régulièrement les cours en attaquant profs et élèves pour leur voler leurs portables...